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 Ecarlate (i will be back)

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AuteurMessage
Yrris
P'tit Nouveau
Yrris


Race-personnage : Beornide !
Age-personnage : 20 ans
Royaume : Du plus offrant.
Age : 47

Parchemin jauni
Royaume: du plus offrant
Race: Humain(e)

Ecarlate (i will be back) Empty
MessageSujet: Ecarlate (i will be back)   Ecarlate (i will be back) EmptySam 25 Sep - 18:37

Nom / Prénom : Yrris Mogiau, Surnom: Ecarlate.

Age: 30 a peu près, elle n’a jamais compté.

Age d'apparence: un peu moins...

Sexe : Féminin

Race: Humaine et celui qui dit le contraire risquera le pire.

Nation: Petit jeu, de quel peuple est Yrris si : elle est née aux Havres Gris, elle est hors la loi au Gondor, fut adoptée par les Variags du Kang et est ex-servante de Melkor, donc de son représentant Sauron.

A) des Havres Gris
B) Hors-la-loi
C) Kang
D) Mordor


Poste: Ex- général de Sauron en Retraite Anticipée

Camp: Anciennement le mal... maintenant, elle recherche une nouvelle carrière

Lien de parenté particulier:
Autant faire toute la famille!!
La familla : (qui est nombreuse à en rendre jalouse Fran Fine)

Et au cas où cela n’aurait sauté aux yeux, la maman d’Yrris manquait un peu d’imagination.
Les noms des fils commençaient par un Ru et des filles par un Yr

Dans la famille, il y a quelque règles d’honneur que tous, aussi malhonnête soient-ils, respectent.
-La famille avant tout. Ce qui touche à la famille ou qui la menace encoure le courroux.
-Les contrats et les dettes d’honneurs sont toujours respectés sauf si elle menace la famille.

Mère : Arléne. (Tenancière d’une maison de passe)

Dans l’ordre des naissances :
Rupen : M. Contrebandier, ça rapporte.
Rufla : M. Voleurs connu dans le milieu des voleurs et des miliciens.
Yrria : F. Prostituée.
Rufus : M. Espion ? Il paraît ??? Faut être un malade ou désespéré pour engager un type aussi malhonnête !
Yrma : F. Voleuse ou diseuse de bonne aventure ce qui est synonyme
Yrris : F. Serveuse (en principe) mais voleuse/ et truc louche avec le Mordor...
Rufio : M. Jeune délinquant. (et non y’a pas d’enfant perdu, comprendra qui peut)
Yrien : F. Brodeuse, c’est la sage fille, y’a toujours une tare dans les familles.
Yrnére : F. Enfant cleptomane.
Yrle : F. Enfant

Oncle et tante dans l’ordre des naissances :
Ogg : F. Guérisseuse, veuve.
Harloke : M. Equivalent de pirate (Rupen travaille dans son entreprise)
Asgatha : F. Tenancière d’un tripot (autre ville), célibataire officiellement

Cousin et cousine dans l’ordre des naissances:
Goodyer : M. Maréchal ferrant époux de Bethynaélle. Fils de Harloke
Tatgétta : F. Guérisseuse, fille d’ogg
Tyldeneim : M. Marchant ambulant et voleur (ce qui et de nouveau synonyme) fils d’asgatha
Davedinh : M. Mercenaire bien placé, fils de Ogg
Aramanth : M. Magicien à tendance catastrophe, fils de Ogg et frère de Davedinth avec qui il bosse.
Calasty : F. Femme au foyer, épouse de Rupen, fille d’Harloke
Marysse : F. Danseuse/ barde, fille d’asgatha


Personnes connues:
Pas mal connue dans les rangs de Sauron pour son franc parlé et son manque de discipline que seule ses idées de stratégie sournoise sauvaient d'un "redressement Nazgulesque à coup de pompes dans l'cul! " , elle ne reconnaîtra pas ses anciens allié pour les raisons suivante : lire l'histoire (oui oui, le loooong pavé en bas de la page!)


Style de combat:
Bagarre de taverne avec reconversion d’objets neutres en armes offensives.

Coup privilégié : « Ablation de la descendance » ou le coup en traite appelé dit le « tu as une dague dans le dos, si tu ne me crois pas, vérifie par toi-même ! ». Ainsi, au cas où il n’en a pas une, de dague, dans le dos, Yrris peut toujours fuir en courant !!
Non ce n'est pas de la lâcheté, c'est seulement une tactique de replis désordonné.

Combat à la rapière: Yrris a une méthode de combat bien à elle, copiée sur celle du Nain Oradin, certains nomment cette technique d’un nom pompeux et scientifique : "La boucherie/ charcuterie Naine, vente en gros, pas au détail".


Description physique:
De loin, montée sur sa splendide et puissante monture à la robe d’ébène, on pourrait croire qu’il s’agissait d’un jeune homme éphèbe, à la longue chevelure rousse et indisciplinée, cintré dans un pantalon de suédine enserré dans des cuissardes noires et portant une belle redingote et une fine épée.
Pourtant, un doute s’installe quand il descend de son étalon. Sa stature est haute mais gracieuse et sa taille trop fine. Il a la démarche légère, cette tendance à exagérer le déhanché et à tourner vivement sur lui-même pour parler à ses compagnons, cela intrigue, serait-il un de ces jeunes hommes qui auraient des tendances déviantes?
Au comptoir, ses attitudes, typiques du sexe fort, ne peuvent que vous souffler que vous deviez faire erreur : il tape sur l’épaule de son voisin un poivrot puis le pouce fermement sur le côté en riant, il prend la chope de bière pour la vider d’un trait, à la naine et s’essuyant la bouche d’un revers ferme de la manche.
Et pourtant? Dans le brouhaha de la taverne sa voix sort du lot, une voix un peu trop aiguë, peut-être caractéristique de l’abus de craies mâchées pour s’adoucir les cordes vocales.
Et ce parfum suave et enivrant qui ce dégage de lui tel une aura.
Ses gants qu’il retire et qui cachaient des doigts gracieux et agiles, bien manucurés, aux ongles pas très longs, mais nets, soignés et nacrés. Certaine attitude, comme croiser les jambes assis sur un tabouret… tout cela vous fait à nouveau douter.
Douter jusqu'à ce que l’ombre de son tricorne vous dévoile son visage, aux traits fins et féminins fascinant par ses grands yeux bleutés que des éclats de verts rehaussent. Un regard brillant qui, accompagne ses gestes fluides et rapides, démontrant une grande réactivité aux événements et la moindre remarque désobligeante sur elle est immédiatement sanctionné physiquement. L’un de ses regards toujours en mouvement qui balaye son environnement avec une curiosité mêlée d’une certaine méfiance : on ne la surprendra pas aussi facilement.
Oui, c’est à présent certain, c’est elle et non lui et les yeux tombent sur le col de sa chemise, largement entrouvert, décolleté provoquant, qui dévoile la naissance de ses seins au galbe attirant, généreux sans être exagérés.
Elle le voit, vous regarde, furibonde, et son poing atterrit sur votre nez.
Le doute n’est plus permit cet homme est une femme, sauvage et fougueuse comme sa chevelure, et… avec un sacré punch !

Ainsi était Yrris : une jeune femme se cachant sous les atours d’un homme, que souvent seul un œil exercé arrivait à distinguer d’un jouvenceau efféminé.
La finesse de ses formes contrastant avec son caractère, issu d’une longue éducation d’une famille… disons débrouillarde, mêlée de celle, plus courte mais efficace: d’un Nain.
Yrris a grandi avec beaucoup de frères et de cousins et, dans un monde d’homme, on finit par être déterminée. La jeune humaine savait s’imposer dans ce monde sans compter sur ses seules qualités physiques, qui seraient amplement suffisantes, mais ce n’est point son style : elle privilégie nettement le coup de poing dans le nez et l’extermination de la descendance plutôt que les hurlements d’appel au preux défenseur service pour nunuche écervelée.


Description morale:
Yrris n’a pas un caractère détestable, du moins pour un sourd.
Non pas qu’elle grogne constamment, mais elle est capable, sans préavis, de passer de l’état de charmante et agréable personne, à celle furie victime de la mode disputant son butin pendant les soldes. (Tout commerçant vous dira qu’un berserker, c’est du petit lait à côté !) et ce, pour des motifs absurdes comme la présence d’Elfe, un mot de travers à son égard ou une simple envie de se mettre en colère... etc.
Ses colères se résument souvent à un: "Débrouillez-vous sans MOI! M'en fout.. j'boude".
Etat moral qu'elle aime préciser, alors que tous sont vite au courant.
De plus, soyons franc, son sens du mouchage et son arrogance à peine dissimulé ne donne qu’une envie : la gifler.
Bien que certain contrebandier dirait : soit je la tue, soit je l’épouse mais en vrai –car tout le monde sait que Star-Wars est un conte de fée- la première solution est souvent la seule qui vient à l’esprit.

Mais malgré ce besoin de poser des répliques cinglantes, elle n’en reste pas moins sauvage et indépendante, cherchant toujours un moyen d’exploiter la situation à son profit et laissant en plan la belle compagnie une fois qu’elle aura obtenue ce qu’elle désire.

Elle aime l’argent, ceux qui cassent la gueule aux elfes, l’argent, la liberté, mais l’argent surtout… Futile me diriez-vous ?
Elle vous répondra : moi, au moins, je ne suis pas obligée d’aller trucider mon armé d’orcs pour aller m'récupérer une épée magique, à la mord-moi-le-nœud, pour être heureuse ! J’ai la thune pour l’acheter! Donc le guerrier artefact-attitude, il ferait mieux de ne pas la ramener !!

Yrris , n’étant pas ignare des avantages que son physique lui apporte, se vexera facilement si un être ne voit en elle que ses charmes et non son potentiel intellectuel.
Elle sera toujours prête à marchander un bon contrat mais parfois, sa part du marché sera étrangement vue, sachant parfaitement que la beauté n’est pas éternelle, Yrris préféra l’instruction d’un savoir, que l’argent ne peut jamais acheter –a moins d’être vraiment riche- à une rétribution sonnante et trébuchante, bien qu’elle ne sera pas contre les deux. Voir même exigera les deux.

Bref, Yrris est une humaine avec toute ses qualités et surtout ses défauts.
Je pourrais vous en dire plus sur son caractère, mais ce serait vous gâcher la surprise.

Son Allergie aux Elfes :
C’est une allergie psychosomatique qui fut déclanchée suite à une mésaventure : Elle fut abandonnée dans le Mordor, dans d’obscure circonstance, à une mort certaine, par 3 Elfes qui étaient ses compagnons de route de l’époque.
Depuis, dés qu’elle aperçoit ou sait qu’un Elfe est dans les parages, elle éternue frénétiquement. Cette réaction est une sorte de défense adrénale mise en place par son subconscient pour pallier sa peur des Elfes.
Car, en vrai, Yrris a une peur panique des Elfes, elle les considère comme des êtres vils, mauvais et lâche qui se cachent sous de beau atour pour séduire l’ignorant. Ils sont à ses yeux porteurs de pouasse et fera tout pour les fuir au plus vite ou les éliminer.


Histoire:
Elle aurait pu être demi-truc machin croisée gros bill des familles, elle aurait pu être une splendide et mystérieuse Elfe, elle aurait pu l’être, en effet, mais il n’en était rien.
Yrris était une humaine, mignonne certes mais une humaine, une simple humaine venant d’une famille modeste sans grande prétention et étant obligée de bouger des lèvres pour lire un texte.

Yrris Mogiau était née dans une petite bourgade portuaire, sans trop de prétention, hormis d’être l’une des rares villes portuaires humaine proche de Farlond, ce qui n’est déjà pas mal si on regarde les cartes du monde.

Les marins de la ville n’en étaient pas vraiment, au sens propre du terme, -bien que de grand bateau étrangers venaient de temps en temps y accoster-, ils savaient remonter et descendre les cours d’eau, faisaient du cabotage, mais la pleine mer !!! Ils ne la connaissaient qu’au moment où l’une des embarcations étaient emportés au large par une tempête et souvent, ils ne revenaient pas.
C’est ce que la maman d’Yrris lui contait lorsqu’elle posait trop de questions typiques des jeunes enfants : « pourquoi j’ai pas de papa, comme Talysse ou Armadine ? »

Par la suite, en grandissant, Yrris compris le métier de sa mère, pourquoi à la maison, il n’y avait que des femmes et pourquoi, le soir, autant d’hommes venaient à la maison sans être des papas, ni des époux.
La jolie brune ne voulait pas de cette vie là. Enfin, vie ? Il faut le dire vite ! Entre les femmes battues, engrossées, alcooliques, les rêves de la jeune fille prenaient souvent l’aspect d’évasion dans les grands espaces des plaines intérieures.

Les années défilèrent, certains jours furent disettes où ses 4 frères et 5 sœurs (la contraception n’existant pas) se disputaient la nourriture, d’autres de ripailles quand sa mère avait trouvé bon client.
Ce fut dans ces années là qu’elle développa son goût immodéré pour la liberté.

Et un jour, la liberté et l’aventure se présentèrent à elle. Enfin, se présentèrent, il faut le dire vite ! Nous dirons qu’Yrris se présenta à elles.
Un nain venait de faire irruption dans la taverne où elle faisait office de serveuse. Bien que sa mère, consciente de la beauté de sa fille essayait de la convaincre de reprendre le flambeau familial, enfin, question flambeau, ce n’était pas non plus la torche olympique, Yrris s’y refusait obstinément. (On se demande pourquoi ?)

Ce soir, le soir où Yrris rencontra l’aventure et surtout les ennuis, elle ne devait pas travailler, pourtant le patron l’appela car un client assoiffé, vidait tonnelet par tonnelet la cave.
Ce qui monopolisait entièrement une serveuse au grand désarroi des autres clients.
Ce clie… Ce Nain braillait à qui voulait l’entendre, vu le volume sonore de la petite créature les autres clients n’avaient pas vraiment le choix :
« -que des lâches, ces Uruk ! J’le tenais !Hips Et ce lâche à préféré glisser dans c’te putain de crevasse plutôt qu’me donner sa tête !Buuurp ! »
Le Burp final fut le burp de trop ! La serveuse attribuée au nain abandonna sa tache, comme un Uruck dirait le nain… si il était encore sobre !
Cette tache fut vite reprise par Yrris. Nain égale aventure, égale partir d’ici, égale pognon, oui, sa mère lui avait très vite apprit la valeur de l’argent.
Bourré, le nain ne fut pas difficile à convaincre. Il décida d’emmener la jeune fille avec lui, comme cuisinière et d’être « responsable » d’elle.

C’est ainsi que Oradin (p’tit nom : Orin) se retrouva responsable d’une jeune fille en fleur (surtout le tablier qui avait des fleurs) et comme on sait, un nain ne revient jamais sur sa parole. (hélas)
Elle devint sa cuisinière attitré, cachant ses talents pour la « substitution momentané d’objets en trop pour son porteur », communément appelé vol par certains ignares.


Le tout début :
Yrris est née à Harlond dans la région des Havres Gris. Même si les Mogiaux étaient moyennement (bruhum) honnêtes, ils n’étaient pas non plus des scélérats sans lois.
Si bien qu’Yrris était, certes, une pickpocket mais une pickpocket « gentille ».
Preuve, elle préférait travailler honnêtement dans une auberge en tant que serveuse/cuisinière.
A cette époque, elle s’entendait parfaitement avec les Elfes de sa région natale.
(en principe des Sindar. Les Sindar ne sont pas les hauts Elfes qui sont les Noldor, mais j’ignore si les Sindar existent dans votre univers de jeu)

A l’aventure compagnons:
-Elle rencontra Oradin et elle partit avec lui, pour « prendre l’air » (Expliqué dans le BG de présentation.)
-Ils furent engagé par des Gondoriens pour accompagner des Elfes dans différentes mission.
-Les Elfes furent plus que Elfique : Insultants et odieux envers Yrris qu’ils considéraient comme la bonne à tout faire. Ils avaient trop peur d’Oradin pour l’attaquer donc ils s’en prenaient à Yrris et Oradin ne pouvait pas toujours la défendre.
-Au fur et a mesure, Yrris est devenu aigrie, son seul bonheur fut un gain : une magnifique jument blanche. (haa.. le meuj est ses idées préconçut ! Les filles en cheval blanc !)

Circuit touristique au Modor :
-Lors d’une excursion au Modor, le groupe s’était séparé en deux. Les Elfes ne laissant pas les autres décider, (surtout un salaupio de capitaine Elfe…) Yrris s’est retrouvée avec les Elfes et le Nain avec les Gondoriens.
-Voulant remonter dans l’estime des Elfes, Yrris se donna à fond, elle alla même les protéger en assurant leurs arrières alors qu’elle était la plus faible du groupe.
Ce fut lors d’une telle action qu’elle se retrouva capturée par des Variags et que son équipe Elfique l’abandonna à son sort.
Et pour couronner le tout, l’un des Elfes en profita pour lui chaparder son cheval!

La Variags attitude :
-Les Variags détestent les étrangers. Un étranger chez eux et un étranger sacrifié. Et Yrris avec ses cheveux presque rouge, alors que les leurs sont noirs; ses yeux turquoises alors que leurs yeux sont rouges; sa peau blanche alors qu’ils ont la peau noire… Elle avait tout d’une étrangère.
Mais heureusement, Un Variag respecte ceux qui les battent.
-Alors qu’Yrris était transporté par deux costaux vers le bûché : elle infligea à l’un deux un coup de pied castrateur, suivit du même coup de genoux à l’autre costaux. (Mes dés sont mes amis)
Le Variag qui reçut le coup de genoux s’évanouit sous le choc. L’autre fut terminé, par les bons soins d’Yrris, par une rencontre entre sa tête et le genoux de l’humaine. Résultat : Nez cassé et ablation des testicules…

Et pourquoi pas une prophétie! Tien!
-Aussitôt, pour expliquer cette défaite cuisante de leurs homme, les prêtresses trouvèrent une histoire de réincarnation. Yrris se retrouvait désignée comme la réincarnation de la fille de la chef de la tribu (société matriarcale) morte il y a 15 ans dans un incendie de plaine.
Pour les prêtresse, la défunte avait choisi pour se réincarner une femelle à la peau de cadavre et aux cheveux de feu.
C’est ainsi qu’Yrris se retrouva Variags et l’une des filles de la Matriarche, à l’insu de son plein grès car à l’époque elle ne comprenait pas la langue.
-Un tatouage familial à l’avant bras et douloureux plus tard, Yrris décida de fuir avant qu’elle ne subisse les piercings.
-Le tatouages familial représente un ouroboros à écailles rouges et noires.

I will Be Back.
-Yrris rentra au Gondor bien après l’expédition.
- A sa grande surprise, elle fut accusée par les mêmes Elfes qui l’avaient abandonnés !
Ils fallaient qu’ils couvrent leurs fautes, entre autre l’abandon. Or, étant plus gradés que l’humaine, ils profitèrent d’avoir en premier le droit de parole pour raconter une version qui accusait Yrris de trahison et le tatouage ne fit que confirmer leurs mensonges.
-Yrris se retrouva dans les geôles. Oradin, qui l’a croyait morte au Mordor d’après les dires des Elfes, apprit la nouvelle et lui porta secours, plaidant sa cause.
-Elle s’évada, et, haineuse envers la race Elfique, elle décida de s’abriter au Mordor, auprès des Variags, pour se faire oublier.

Signer avec du sang ? C’est d’un ringard !
-De plus, elle ne pu reprendre sa jument.
-C’est là, que la première corruption apparut sous la forme de SaHarley.
Un humain en armure lui à proposa cette monture contre « sa servitude» à Melkor.
-Séduite par les paroles de l’être qui la flattait et semblait comprendre sa haine des Elfes, en extase devant le magnifique étalon et considérant qu’elle n’avait plus rien à perdre, elle accepta.
-Elle changea de nom pour accomplir ses méfaits au nom de Melkor (vol et assassinats, vu son jeune age pas grands chose, je vous laisse déterminer), se faisant appeler rubis (avec le métier de sa mère, défaut d'imagination... ) Elle tente de le changer, à présent, pour Ecarlate.

Comme un trou de mémoire....
Après plusieurs exploits au service du Maître Noir –dont certains qu’il ne faut pas mieux venter- Ecarlate sentit comme une lassitude à faire le mal. Ainsi sont les humains, changeant, et les servant de Melkor sentaient venir se changement.
Une alternative fut donc offerte à la rousse par ces dits servants : « On te tue », première option qu’Ecarlate n’apprécia guère, « Ou on te fait un petit lavage de mémoire sur les derniers événements, histoire que tu oublies les détails gênant comme la prise d’Umbar ».
Yrris n’ayant jamais eut la mémoire des dates, décida que cette idée était beaucoup plus intéressante et moins contraignante que la première.


Mais la question que tout mj se poserait, serait : Et comment Yrris est devenu voleuse ?
La réponse sera : Demandez à Rufla, son frère aîné, c’est lui qui a insufflé le gêne pickpocket à tous les membres de la famille, certain médise qu’il devait tenir ça de son père …
Et pour ce qui est de se battre à main nue, vous avez déjà essayé d’expliquer à une personne en état d’ivresse que « non, je ne veux pas de mains aux fesses ? Même si ma mère est un péripatéticienne, ce n’est pas une raison ! … une Pé..ri.. pa… le plus vieux métier du monde quoi ! » Quant aux dagues, c’est quand ils insistaient trop, c’est pour cela entre autre qu’elle n’avait plus que le service du midi.
Oui, le patron aurait voulu l’a renvoyé, mais comme il avait un abonnement avec sa mère sans que sa femme le sache… ah, les menaces ! Ce fut Rufus qui les enseigna à sa sœur, il parait qu’il est devenu espion, mais ce n’est pas certain, il a disparut. Et oui, il n’est pas un espion célèbre comme un certain 009, l’agent secret (plus vraiment) Godorien le plus célèbre de toutes les terres du milieu. (Comment ça les conservateurs veulent me tuer ?)


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