Suite Imperiale : PaSha sur un lit...

Double poste pour la bonne cause : RP commun Sha, Arazael, moi.

"Seigneur ou pas, je ne suis pas là!"
Répondit une Sha avec la franchise enfantine de celle qui ne voulais pas être embêtée.

A l'ombre de la porte, une voix masculine se fit entendre :
"C'est le roi des numénoréens, tout de même! et l'ancien roi d'umbar, l'envoyer ainsi balader ne se f..."

Voix qui fut couper par celle de la jouvencelle dans un: "
et alors? Il n'a pas les moyens de se payer un chambellan pour annoncer son arrivée? J'ignorai Tharogrond si pauvre..."


Haussant les épaules, Ker-Dûnaphil répondit :
"j'ai préféré m'en passer. Ceci dis, je suis dans une position délicate

Comprenez bien : vous me répondez en disant ne pas être là. Or c'est pourtant vous, la reine impératrice, qui vient de parler. Dans le cas contraire, la reine impératrice est réellement absente, et dans ce cas je me ferais un devoir d'arrêter l'usurpatrice, afin de profiter de bonnes relations diplomatique par le futur avec la vrai dirigeante. Ce qui, je suis au regret de le dire, m'entrainerai à entrer sans votre consentement".


"Mais si je suis la véritable Reine-Impératrice, ne serait-ce pas là un plan machiavélique pour vous pousser à la faute diplomatique en me molestant pour me neutraliser?"
Répondit une Sha en continuant sa partie d'échec avec son garde qui souriait sous le masque. Elle continua, à mi-voix, par:
"le temps qui résolve se dilemme, nous aurons finit notre partie, semblerait-il.


Ker-Dûnaphil gloussa doucement, amusé par l'idée d'un plan aussi machiavélique! Puis répondit :
« Il serait en effet fâcheux pour nos deux royaumes qu'une telle chose arrive. Je ne vois qu'une solution afin d'éviter une telle catastrophe : permettez moi d'entrer, afin que nous puissions faire plus ample connaissance! Ainsi, je pourrais déterminer si vous êtes la vrai reine, ou l'usurpatrice! »


"Hmm malin... mais pas assez"
soupira sha en enchainant :
" mais êtes vous bien celui que vous dites? Après tout, vous n'avez guère été annoncé par un quelconque chambellan, vous pourriez être un dangereux criminel. Un torve assassin se faisant passer pour un autre."
Acheva-t-elle dans un rire étouffé.
Il voulait jouer au "qui est qui" à ce jeu, une enfant gagnait toujours!


Ah délicieuse femme qui lui faisait regretter soudain la pompe de son exaspérant chambellan! pensa le prince avant de répondre :

"Votre palais est bien protégé. je ne doute pas qu'un tel individu, au culot particulièrement développé et se faisant passer pour moi se ferait arrêter bien avant d'atteindre la porte de votre chambre!"


"Ça dépend de tes intention..."
Je m'étais avancé derrière lui et lui avait fourré une sucette a la pomme dans la bouche.
" Bon, Voyons voir.... Ce monsieur vous dérange, Reine-impératrice?"


Sha fut interloqué en entendant la nouvelle voix.
"Ils font une soirée privée derrière ma porte, ou quoi?"
demanda-t-elle sans grande conviction avant de reprendre :
« Messire Grand Connétable du Crâne? Est-ce vous?"


"Lui même."
Fit-je en frappant a la porte avec une sucette a la fraise.
" Donc, Seigneur...? bref, pour quoi êtes vous donc là?"


Hiiiii Arazael!!! C'est un assasiiiiiiin ! "
Hurla-t-elle avec une voix faussement effrayée qu'elle ne cherchait même pas a contrefaire.

Émeraude s'affola en imaginant ce que cette blague pourrait engendrer

Ker-Dûnaphil avait entendu Arazael arriver : on ne survivait pas à la court en étant dur d'oreille. Ceci dis il fut loin de se douter qu'il se retrouverait avec une sucette... a la pomme? Dans la bouche.

"Et bien les dés font vetés! Fi la Fucette est empoivonnée, alors l'acfident diplomatique est en train de naitre, je dirais"

Puis se tournant vers Arazael, il lui jeta un regard froid. Visiblement la "plaisanterie" n'avait pas vraiment fait mouche sur le seigneur de Tharagrond. Il lui dis :

"Vous vous abftiendrez à l'avenir fe venre de comportement avec moi. Et ve vous conseille de réfléchir avant d'agir."
Très seyant en tout cas ce masque" conclut-il avec un sourire. Après avoir enlevé cette satané sucette! Ila vait été surpris. Maudis zézaiement.


"Les rois n'ont aucun humour, mon cher Émeraude. En voilà un de plus de vexé de voir ma porte close devant son nez. Mais a quoi sert un Intendant si ce n'est à recevoir ces fâcheux fâchés?"
Déclara une Sha assez fort pour être entendu par les squatteurs de pallier
" échec?"


Je baillai et m'étirais alors puis je replongeais mes yeux dans les sien

" Voyez vous... Mon rôle a moi, c'est tout de même de trouver pourquoi, vous, les assassins, êtes obligé de tuer toujours cette reine... enfin, sa me fait de travail et de bonne partition alors... j'ai rien contre vous, mais on va bien s'amuser, je pense."

Bien que mon masque le cachez j'affichais un immense sourire.


Ker-Dûnaphil soupira. Le masque ne lui permettait pas vraiment de savoir si cet Arazael plaisantait ou non.
Ôtant la sucette à nouveau, il fit :

"En fait, je partais plutôt de la sucette qui, inopinément, se retrouva dans ma bouche, Chère Reine Impératrice! Une porte n'est pas tellement dérangeante à mes yeux."

"Nan pas échec! "
répondit la voix d'Émeraude.

"Si si, Échec, j'insiste. Regarde le fou ici.. et oui."
Reprit la voix de l'Impératrice au milieu des conversations des deux squatteurs de pallier.
"Cher, cher? Qui vous dit que je suis a vendre? Et puis, je suis hors des moyens d'un roi sans chambellan! "
Annonça-t-elle dans un éclat de rire.


« Je me suis mal exprimé. J'ai un chambellan. D'ailleurs, je pense que vous gagnerez à le connaître! La prochaine fois je n'hésiterais pas une seule seconde à l'amener avec moi je pense. »

Fit un Ker-Dûnaphil amusé, comprenant qu'il n'attendait devant cette porte que la reine impératrice finisse sa partie d'échec.

-Parfait parfait, comme vous dites. Je suis belle est bien le chefounet des tortionnaire de cette petite cité.

Fit-je en commençant a avancer vers la sorti a grande enjambé, les bras croiser dans le dos, sifflotant ma dernière symphonie. La creation d'une invitée humaine qui etait, je crois, soliste. Enfin, je m'etait vraiment amusé apres l'avoir crucifier. Elle aimait son visage, alors, je lui est volé sont amant : toute écorcher elle fini. Abalam doit encore en rire.

-Vous voulez une autre sucette?

Lui demandai-je en en sortant trois (Fraise, menthe, pomme) et je les montrant par dessus mon épaule. Je jetai un rapide coup d'oeil au roi, il me ressemblai un peu... beaucoup... bouarf, je m'en moque. J'avait deja hate de prendre une tasse de thé dans la salle des ecartelé a l'ecoute de la douce musique de mes invités puis on irai marcher dans les jardins des culture des plante empoisonné et autre hallucinaugene. Biensur, on ira s'amuser un peu en lancant des couteau sur des esclave et on donnera des coups de fouets... A cette penser, je me mi presque a sautiller comme un enfants qui allai avoir un jouet.

Je mordis la lèvre inférieur, et le gout du sang me revint a la bouche, comme la drogue dont j'etait dépendant. Je passez une langue avide sur ma plaie mais bien vite j'arretais: J'avait besoin de faire souffrir.

-Oh...

Je venait de regardais le blanc des vetement de l'homme... dommage...

- Non rien, laissé tomber.

Fit-je en retenant un rire.

"Non merci. Les sucreries ne sont pas mon fort, d'autant plus avant de visiter votre charmant temple. Pour ma part je préfère un délicat verre de vin rouge."
Fit un Ker-Dûnaphil qui observa avec curiosité un crâne qui semblait monologuer avec lui même. Ah mais, parfois le génie se teinte de folie après tout. Ou d'excentricité. Un fou ou un noble n'est pas fou, mais excentrique.
"Et bien, guidez moi donc, et pendant ce temps, pouvez vous me donner un avant gout de ce que je vais visiter?"

"Hum..." Ara ce mit a réfléchir... " Vous aimez le thé? enfin, bien sur, on pourra aussi boire du vins... tout cela en écoutant les doux chant des écartelé..." Ara repris une sucette a la pomme et fit mine de réfléchir avant d'ajouter, après avoir retiré la sucette de sa bouche "Ensuite... je pourrais peut être voir comment vous jouez de l'instrument, et bien sur, une petite balade dans mes jardins vous fera du bien!"
Arazael avait lâché sa phrase avec un peut trop d'enthousiasme Il remit rapidement sa sucette dans la bouche et pris presque Ker par le bras pour le tiré comme un enfant qui voulait jouer

"Hum, oh je préfère le vin. Rien de tel qu'une bonne séance d'œnologie en pleine séance d'interrogatoire."
Ker-Dûnaphil évita la main ensanglantée de frais d'Arazael. Il commençait à sérieusement se méfier du personnage. Mentalement instable à ce qu'il paraissait, il pouvait fort bien passer de visiteur à patient. Aussi demanda-t-il :
"Quel genre de jardin? Plantes exotiques, fruitiers? Ou encore autre chose?"

"Devinez..." Fit Arazael d'un ton moqueur " Ce sont des jardin dans une maison de torture... Mais maintenant que je sait que vous êtes gentil je peut enfin enlever tout ses "trucs" qui m'encombre" Arazael sortis ces deux dague et les jetai par terre, puis il sorti un fouet, deux bistouri, trois marteau et il finir, inexorablement attiré par une force appelé gravité, par terre. Il garda néanmoins une flasque de poix et deux silex.

Le seigneur de Tharagrond eut un sourire, satisfait d'avoir eut la confirmation qu'il attendait.
"La relativité est un sujet passionnant. Tout comme votre don pour porter autant d'arme aussi discrètement sur vous!"

"Vous savez, sa porte plus chaud qu'autre choses.... Enfin, sais on jamais qu'un Haradrims est des client trop entreprenant..." Fit Arazael "Vous savez, vous me rappelez quelqu'un..."

"C'est étrange, car vous me dites également quelque chose, lais du diable si je sais quoi!" fit il en suivant le connétable vers son temple.

Les bruits de pas s'éloignèrent. On avait beau isoler les pièces du palais, le raclement des talons de bottes bien entretenues raisonnaient toujours sur le marbre. Sha écoutait ces bruits de pas, avec un sourire entendu. Netza'h avait dompté le roi aussi pressé qu'un citron dans une bouteille de limonade.

Elle se demandait, sérieusement, si il n'y avait pas une drogue dans ses fameuses sucettes ; une drogue stimulant la zone du cerveau liée à la confiance? Etrangement, tout le monde faisait confiance a Netza'h , pourtant, faire confiance à un bourreau n'était pas l’état d’esprit le plus sein qu’on puisse avoir... alors faire confiance à un bourreau chef d'autres bourreaux ?
Est-ce que la méfiance multiplié par 100 donnait de la confiance? Un peu comme la haine pouvait donner de l'amour? En fait, non, cette théorie sur la haine était fausse. Elle y avait goutté et savait que la haine X 100 donnait de l'indifférence totale.

Sha lécha son palais dans un cloc sourd. Sa bouche réclamait sa dose de sucre et la boite de chocolats était digne de ce sacrifice rituel dit " envies de femme enceinte".
Saisissant un chocolat, qu'elle engloutie en une bouchée, sha se relevant dans un froufroutement de soie, la jeune semi-elfe se dirigea vers une commode en marqueterie de bois blanc. Elle en ouvrit le tiroir supérieur, fermé par une serrure à codes, dépliant le dessus et le devant pour dévoiler un précieux contenu : 2 masques sur leurs socles.

"- Ho? vous, vous ne comptez pas attendre le coiffeur ?.. A moins que vous ne soyez atteinte de nostalgie?"
Fit Emeraude, sortant sa Reine des rêveries devant ses masques parfaitement entretenus.

"- Emeraude? Suis-je laide? Suis-je mal habillé? Mal coiffée? Comment me trouves-tu?" Demanda Sha en caressant du bout des l'ongles son masque de Chat.

"- Est-ce une question piége? Le genre de question où si je réponds : non, vous me traiterez de menteur et si je dis : oui, vous hurlerez à mort avant de vous effondrer en larmes sur le lit?" Interrogea un Emeraude sur le ton de la suspicion.

"- Emeraude, je réserve ses crises à mon époux, donc, tu ne risques rien."

"- Dans le doute, je préfère dire que vous êtes merveilleuse, comme à votre habitude. " Fit un noldo toujours méfiant de la réaction de sa reine.

"- Donc, je n'ai pas besoin de me changer ou de me faire belle pour recevoir ce roi ? Parfait, je vais sortir, dans ce cas."
Conclut sha avec le large sourire malicieux de l'enfant qui venait de détourner une conversation à son avantage.


Il fallait du temps pour traverser le palais. Facilement une heure en passant toutes les sécurités… mais beaucoup moins par les passages secrets.
Ah, parlons de ces passages, ils n’étaient pas très commun, facile à trouver mais peu à ouvrir ! Sur les portes de ceux-ci, des énigmes astronomiques, de exercices de géométrie et autres casses têtes en bloquaient le passage, remplaçant les banales serrures d’avant. Sha avait un principe, à être assassinée, autant que ce soit par un être doté de culture !
Ce qui rendait ces portes presque inviolables, sauf pour un géni.



Une demi-heure plus tard, en comptant que sha était une capricieuse gamine qui aimait que tout soit parfait surtout elle.
Donc, un quart d’heure de passage secret plus tard + un quart d’heure de torture mentale sur Emeraude pour qu’il sert plus la ceinture du kimono et l’aide à faire tenir la coiffure malgré le port du masque. Sha se retrouvait en bas du palais, avec de l’avance sur les deux Numenoréens Noirs, aussi les attendit-elle en prenant la pose, car après tout, ne pas avouer qu’elle était là pour faire sa belle, serait un mensonge.

Sha était multi facettes. Le masque de Rat la rendait studieuse, celui de phénix diplomate et froide, mais celui du Chat… quel délice de le porter. Avec cet apparat sur le visage, elle sentait que tout lui était permit. Que l’univers était une énorme litière où se défouler !



Elle s’assit sur le rebord d’un parapet, a demi couchée dans une langoureuse position. La fumée de son kiséru, sorte de longue pipe garnit d’opiacées, l’enveloppait de volutes dansantes.

Sha portait son masque de Chat, d’un noir luisant sans joyaux, léger en cuir souple et métal, épousant parfaitement ses traits. Il n’y avait que le devant, laissant sa longue chevelure d’argent apparente qui était remontée par 5 stylets dans un négligé bien trop sophistiqué pour qu’il soit naturel ; dégageant sa nuque qui prolongeait le col rigide du kimono qu’elle n’avait ôtée.
Celui-ci, d’une soie blanche immaculée, faisait miroiter le soleil sur ses pans que des entrelacs d’argent parcouraient pour former des lotus s’épanouissants sur quelques ondes imaginaires. Une large bande de tissus rigidifiait la taille de guêpe avec une soie brodée d’or et de noir où des félins fantastiques s’affrontaient dans d’épique combat.

A chacun de ses mouvements, les chaînettes parcourant ses stylets et ses cheveux s’entrechoquaient dans un tintement clair et doux, cachant presque celui de la fini chaine d’argent unissant ses chevilles l’une à l’autre dans un délicat bijoux féminin et entravant.

Sha connaissait les goûts du maître d’œuvre impérial. Il n’avait eut à lui dire, elle s’était renseignée, et il fallait au moins ce genre d’argument pour amadouer le geôlier et peut-être ce roi… Songeait-elle en s’amusant à faire glisser cette bien courte chaine le long de son pied chaussé de sandales aux lacets montant en une étreinte imitant le lierre avec des feuilles d’un blanc nacré.


(hrp: prenez votre temps pour arriver, je ne suis pas pressée)

RP commun Sha', Arazael et moi même maitre du monde... heu, moi même

"Sinon, de quel région êtes vous donc?" fit un Arazael, ayant... l'habitude de questionner. "C'est beau, par chez vous?"

" Et bien théoriquement, je viens d'ici, ou plutôt de l'ancienne Umbar. C'était très joli, mais pas autant que maintenant, je l'avoue sans honte. Un problème de voisinage avait quelque peu entamé le panorama voyez vous. Enfin! Notre royaume est désormais Tharagrond. Et vous même? Je suppose que vous n'êtes pas originaire de cette jeune cité." Fit un Ker-Dûnaphil, voulant cerner le personnage : vrai dérangé ou simplement intelligent sadique?

"Je ne sais pas" Fit Arazael, d'un ton neutre. "J'ai eu une enfance... particulièrement amusante, et donc je ne me suis jamais posé cette question!"

"A un certaine age, je suis partit sentir d'autre odeur..." Netza'h s'était rappelé la première fois qu'il avait evantrer une elfe, apres l'avoir crucifier, et toute l'odeur si exquise qui s'en dégageait... Ah!! rien de tel que l'odeur des boyaux putréfiés, du sang qui gicle, du fer imbibé... Arazael eu un frisson de plaisir

"Que venez vous donc faire ici?" Fit-il, l'air de rien

"Ce que je viens faire ici?" Ker-Dûnaphil eut un sourire en coin. "Je viens rencontrer la reine impératrice d'Umbar. En trois mot, de la diplomatie."
*Décidément,* se dis le seigneur, *ce palais était une vrai forteresse, avec tout ses contrôles. Une telle prudence? Cela cachait-il quelque chose? Des ennemis ou des secrets? Intéressant.*
"Hum, vous dites ne pas savoir d'où vous veniez, mais vous saviez au moins ce que vous y faisiez, non? Puisque vous vous amusiez tant?"

"J'étais esclave, c'est pour ça que je les aimes tant Ho sa oui, il les aimais, il les aimaient tellement que sont amour sentais le fer. il se lécha un doigt dont le sang commençait à sécher avec délectation. "Et vous, votre enfance? d'un ennuis mortel peut être? ou bien... vous êtes vous amusez comme on le fit avec moi?"

"D'esclave vous passez à maitre des geôliers et des bourreau? Vous pouvez vous vanter de vous être élevé dans la société en ce cas."

"Vous noterez avec quelle délicatesse, il a évité le sujet de son enfance..."  Fit une voix légèrement rauque et de velours de cette jeune femme que des volutes de fumée enveloppaient.
"Mais quoi trouver d'intéressant dans une enfance de noble? Petit caïd de son palais? Faisant les 4oo coups et relevant les jupons des servantes? En-suis éloignée?"

Les bras d'arazael tombèrent, il s'affaissa. Et d'un ton blasé fit "Miaou" Il l'avait repéré et reconnu... cette peau... si blanche... parfaite en drap de lit ou en oreiller! *Sha la pacha*, pensât-il... "Seigneur, voici... un chat..." Pourquoi la reine impératrice voulais donc venir jouer avec nous? enfin, plus en est de fou pour on ri, je jouais le jeu: "Tien, c'est surtout un chat enchainé... héhéhé" j'allongeais le pas.

"Oh oui j'ai remarqué, mais insister sur le sujet en général, n'apporte rien. Je trouverais une autre manière d'en savoir plus. Mademoiselle... Chat?"
Fit un Ker-Dûnaphil en observant la jeune femme, fine et élancée, qui portait, effectivement, un masque de Chat.
"J'étais trop occupé pour soulever les jupes des servantes, mademoiselle." Le seigneur fit une légère révérence avant de poursuivre, sarcastique : "Mais je vous l'accorde, la vie de noble est bien morne, comparée à d'autre"

"N'avez vous jamais vu de bijoux, Goêlier?" Fit-elle dans un presque ronronnement. "Ce ne sont pas de vrais chaines... Je laisse les fers à ceux qui se font prendre." Continua-t-elle en s'allongeant sur le ventre tel un chat de cheshire qui du haut de son arbre regardait une Alice.

"Si mes informations sont sur, Ex-seigneur d'Umbar, la votre de vie fut très agité..." finit-elle avec un sourire énigmatique avant de regarder ailleurs.

"En effet, et j'en suis bien aise. Je préfère une vie de surprise à la banale routine. Car, en vivant cette dernière, je ne vous aurais certainement pas croisée!
Mais si vous me disiez... Quel rapport entretienne un chat avec le grand connétable du crâne? Car vous vous connaissez, me trompais-je?"

"Vous savez, j'ai des connexions et des informateur. Elle, c'est une informatrice." Je m'appuyer contre un mur, jambe croisé.

"Ho que oui, je suis une informatrice" fit-elle en se glissant, à quatre pattes pour arriver au dessus du Grand-Connétable, se rallongeant comme un matou sur le sommet du même mur.

 "Mais pour ce qui est de la mode, je ne le laisse dans son ignorance." continua-t-elle en faisant riper ses longs ajouts d'ongles métallique sur l'arcade du masque du crâne.

"ce qui expliquerai qu'il ne connaissent pas ce type de bijoux"

"Sans doute notre cher crâne est-il trop pris par ses loisirs pour se préoccuper de mode, ou bien même de l'habillement en général, et en particulier, celui de ses victimes? Mais, vous qui êtes une informatrice, que savez vous donc du Grand connétable Arazael?"

"Mes connaissances dépendes du prix que vous êtes prêt à mettre pour les connaître, et du prix qu'il est prêt a mettre pour me faire taire." Répondit-elle, en gardant sa voluptueuse position sur le muret.

"Évidement," répondit un Ker-Dûnaphil, qui ne pouvait s'empêcher d'admirer les courbes et les manières félines de la chatte qu'il avait devant lui.
"Mais si nous sommes appelés à négocier, alors préfèrerais-je le faire en tête à tête, afin que vous puissiez lui laisser la surprise de notre accord intact. Ce serais tellement plus amusant, non?" finit il en un sourire.

"Vous en restez pas à Umbar, vous, tandis que lui, si... vous partez perdant. Aucun paiement élevé ne peut remplacer la fixité et la protection qu'apporte un Grand-Connétable d'Umbar." Conclut-elle en jouant un peu trop parfaitement son rôle de Chat pour que ce soit une simple comédie.

"Ça dépend de quel grand connétable" fit Arazael avec un léger rire malsain. "enfin, sachez que tant que vous ne commettez aucune faute vous ne m'intéressez pas..." Arazael le regarda, il mentait, il avait toujours eu envie de se disséquer, et lui, il lui ressemblais beaucoup.

"Vous m'observez beaucoup derrière votre masque, où est-ce une impression, hum? ça frise l'incident diplomatique, surtout au vu de votre fonction. Je crois que je préfèrerais un regard de notre demoiselle ici présente... D'ailleurs, avez vous un nom, ma chère?"

"Mriaww? Mademoiselle Chat conviendra. Dans ma profession, on aime les surnoms, vous comprendrez. Alors? Grand-connetable, on joue les sauvages indomptables?" Se mit-elle a susurrer en se baissant vers le masque du Crâne pour lui infliger une rappeuse léchouille sur la joue. "Mwwrrr ... gout de sang et de métal, mon parfum préféré pour les glaces."

"Venez donc avec nous, nous allons prendre une collation a mon temple. Il y a des glace, dans la salle des viandes! je suis gourmand..." Je sorti alors une sucette d'un rouge sombre et profond, je l'enfourné dans ma bouche et je levais la tête vers la reine.

"Très bien, alors, mademoiselle Chat." Ker-Dûnaphil jeta un regard de plus, en douce, à Arazael. Puis toute réflexion faite, à Sha'. Il se méfiait des deux, pour l'instant, mais il devait avouer qu'ils lui plaisaient... Quel dommage qu'ils fussent vassaux d'Umbar.

"Sucette et glace n'ont pas ma préférence, comme vous le savez déjà. Un bon vin me conviendra, en revanche, parfaitement. Ou une tasse de thé. Alors, mademoiselle, nous accompagnez vous? Ou bien un chat est-il mal à l'aise dans un temple où l'on torture pour soutirer informations?"

"A combien estimez-vous ma compagnie" demanda-t-elle en tentant de chaparder la sucette dans la bouche d'Arazael. " Je ne salis pas mon pelage pour rien..."

"Une coupe de glace et une sucette, peut être?" Fit-je, en en sortant un paquet au parfum varié

"Mrrr? Je préfère celle qui porte le goût de votre salive... Avec un peu de chance les relicats de votre dernier repas la parfumeront?" Insista-t-elle en attrapant le bout du bâton pour tenter de la prendre de force.
"Pour le paiement... je préfère ce qui brille... je vois bague et broche sur l'un comme l'autre de ces seigneurs."

Ker-Dûnaphil dut user de toute sa maitrise de soit pour ne pas avoir l'air surpris, mais cela allait attiser sa méfiance... Quand bien même la demoiselle ne pouvait avoir vue l'anneau d'Adûnaphel à sa main droite : seul lui pouvait le voir.

"Je veux bien vous céder l'une de mes bagues, mais si vous espérez mon sceau... Il me faudra alors plus que votre présence en contrepartie!" fit-il, en levant l'un de ses sourcils, interrogateur.

"Mais ma présence est très prenante, seigneur, mraouw! " Fit-elle avec un sourire carnassier.

Une forte odeur de lavande empli l'air. Un Nazgul marchait tranquillement, suivi d'une dizaine d'Orques croulant sous les paquets et les sacs de diverses boutiques du Quartier Marchand. Dwar profitait de son séjour pour refaire sa garde-robe.

L'étrange cortège qui faisait s'écarter les gens avec des regards dubitatifs se dirigea vers la Reine et les 2 Numénoréens.

"Mais ma fois, voilà qui est... Intriguant, petite féline! Je pourrais même vous laisser me délester de tous mes objets de valeurs!" fit-il, avant de remarquer la présence d'un "confrère". Se tournant vers le seigneur Dwar, il fit : "Je vous salut, seigneur chien! Décidément, Umbar est devenu la plaque tournante du commerce à ce que je vois!"
Dwar utilisa le regard de son comptable Orque pour voir la scène. ce vieil Orque avait réussi l'exploit d'être l'un des doyens de son espèce et s'était orienté vers les travaux intellectuels.

La voix spectrale du Nazgul se fit entendre, lugubre et guillerette (Faut le faire, hein?): "Prenez garde aux félins, Seigneur des Numénoréens: certains ronronnent et griffent en même temps."

Profitant que le Seigneur Ker-Dûnaphil détourne l'attention du Nazgul, Mademoiselle Chat décida qu'un bon paquet était un paquet ouvert. Aussi, passa-t-elle, après avoir piétiné allégrement le Grand-Connétable du Crâne pour descendre du mur, en revu les contenues des paquets en les déchirants de ses griffes métallique.
" Hooo ! Que c'est mimi ! C'est pour moi, ça? Vous en avez pas besoin."

"NOM DE MOI!!!" Hurla le Nazgul tandis que les Orques poussaient des cris de surprise devant une telle agression. "Lâchez ma paire de botte dernier cri, je vous prie!" Bottes qui, soit dit en passant, étaient identiques à celles que Dwar portaient déjà. Dwar s'avança, prêt à défendre son bien tel la ménagère en furie devant le dernier Cacharel à sa taille en solde.

"Elles ne sont paww à ma taille de toute façon, mww.. " Rechigna la féline créature, comme tout bon chat boudant une gamelle qu'on lui refuse, en jetant la paire de botte par dessus elle.

-Miaou, le chat a attrapé un drole de poisson.

Je ne pouvais que rire, adosser a mon mur, un nazgul en string, sa doit valoir le coup d'oeil. Sha ne s'arretera jamais de jouer.

- Monsieur le Nazgul a sans doute des gouts speciaux pour acheter ce genre de sous vetement....

Je fouillais a nouveau dans ma poche pour sortir une autre sucette, d'un rouge legerement different, je mit les deux dans ma bouche.

Au fond, j'esperais que cela finirai vite: j'avais soif.

-Abalam!!!

J'entendis des bruits de pas et mon commandeur accouru vite. Je lui murmurai a l'oreille d'aller me preparer une glace au temple. Il rigola mais s'executa tout de meme.

Mon regard revint sur la partie de pêche. Avec de tel apat, il etait normal que SHa attire les homme. Et si on le jettai dans une foule d'homme? Ce serait amusant de les voir s'entretuer pour un bout de tissu, j'imagine...

Dans mon esprit, cette idée obtint la mention "A ESSAYER"

-Bon, detendons l'atmosphere qui est tendu comme un string, justement, qui veut une sucette?

J'avait quitté mon mur, puisque apparament nous allions nous rendre a mon lieu de travail. Faisant tourné les deux sucette dans ma bouche néanmoins, leurs gout ferreux ne pouvais me calmer. Je songeai toujours a la glace qui m'attendais dans la chambre des viandes.... Ses petits morceau, sont rouge si parfait, sa texture legere... RIen de tel qu'un opera et une seance de torture pour l'acompagné, il en va de soit.

- Messire Dwar, aimez vous la musique? Vous savez, dans mon temple il y a bien des airs qui se laisse entendre...

Completement desinterresser des querelles de mâle en rut des deux guerriers, je me mi a bailler, laissant tomber mes deux sucettes

-Ho, zut....

Je fouillais dans mes poches, plus de sucette du meme gout, mon dieu, d'ici... trente seconde je serais ne manque.

- Pourrions nous nous depecher? Nous ferons connaissance dnas mon temple, si vous voulez venir.

Et, alors que Dwar desperait, qu'Arendil défiait Ker-Dunaphil dans une bataille de regard implicite, qu'Arazael ressentait les effets de sa dépendance et que la Reine-Impératrice, sous son masque de chat, pressait le Roi de Tharagrond, arriva Ar-Pharazon II, Basileus d'Angmar, Seigneur de Nord (sa pète non?).
Avec lui trois personnes. Deux gardes portant l'uniformes gris ardoise de la garde des ambassadeurs et l'ambassadeurs lui-même, le Princeps Unolith. Le Basileus était vêtus de son habituel uniforme noir et or orné de deux médailles. Pour se protéger de la chaleur des lieu il portait un tricorne noir orné d'une plume blanche et une inhabituelle ample cape complétait sa tenue. Les deux gardes avancait derrière leurs chef. Ils portaient, comme dit plus haut, un uniforme gris ardoise complété d'un plastron de cuir bouillis noir destiné à l'apparrât. Leurs têtes étaient couverte par le casque à pointe typique d'Angmar, ce qui avait valus à l'armée nationale le surnom original de "Casque à Pointe", en cuir bouillis assorti aux plastron et orné du corbeau couronné, symbole du pays, et portait chacun une pertuisane. Unolith essayait de suivre son maitre mais était ralentit par sa masse corporelle considérable. Il était vêtu d'un uniforme noir, élargi au niveau du ventre, semblable au Basileus mais le sien possédait des boutons et des épaulière de couleur grise ardoise et était noyé sous les médailles.
Mais que faisait le Seigneur du Nord ici? Si loin au Sud?
Et bien comme tout les ans à la même saisons Iaurgoth avait fait le voyage jusqu'aux montagnes blanches pour y récupérer ses coquelicots qui lui était si précieux. Mais il était arrivé trop tard dans la saison cette année et n'en avait pas la quantité suffisante, ou plutôt la quantité qu'il jugeait suffisante. Il partit donc vers Umbar, la cité reine du commerce. Quand il y arriva il y fit ses achats et se promis de ne plus revenir ici pour acheter: les prix était réellement prohibitifs! 2tant de passage il décida d'aller saluer la Reine-Impératrice. Il partit donc à l'ambassade d'Angmar où il fut acceuillis par Unolith. Ce dernier avait été choisi comme ambassadeur grâçe à sa lacheté. On ne pouvait se permettre de placer un lâche à la tête d'une légio, d'un centum ou même d'un decem. Il en allait de même pour la plupart des ambassadeurs, mais néanmoins ils étaient tous fidèles au Basileus. Il en allait de même pour les gardes des ambassadeurs. Sous couver de les honoré on se débarrassait des pires éléments de l'armée.
Le temps de se laver, de se coiffer, de se raser et Ar-Pharazon était partit.
Et nous voilà donc à maintenant.
D'un air jovial le Basileus s'avança. Il inclina la tête en direction du nazgul.

-Seigneur Dwar, c'est un plaisir de vous voir en vie... si l'on peut dire sa comme sa, et à l'intention de l'autre rois ici présent, Seigneur Ker-Dunaphil c'est un plaisir de vous rencontré, de même que vous Amiral Ozentheol.
-L'homme au masque de crâne est le Grand-Connétable Netza'h et la dame est un membre de l'ordre du Chat, dit un Unolith qui essayait tant bien que mal de le faire discrètement, mais c'est sa le problème quand on fait vingt centimètre de moins qu'on son maître.

Ar-pharazon adressa un sourire au deux personne évoqué ci-dessus.

-Grand-Connétable, c'est un honneur de vous rencontrez, vôtre réputation vous précède. Quand à vous ma dame je ne pense point vous avoir déjà rencontrez, ne serait-ce que par la voix d'un tiers.

Hm... Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Umbar est animé. Et surtout, surprenant!
Il avait l'impression d'assister à autant d'évènements que pouvait en raconter une vieille mégère mythomane rapportant des ragots de cours à une de ses (rare) amies. Ce qui est beaucoup plus drôle que d'écouter la-dites vieilles mégère, soit dis en passant.
Une chose toutefois était clair : au vue de la réaction des jaguars (gardes de l'impératrice rappelons le), la demoiselle Chat devait avoir un lien avec l'impératrice. Et/ou quelque chose à cacher, d'ailleurs!

Ce fut toutefois complètement oublié lorsque la demoiselle Chat lui donna une bonne tape sur les fesses. Il se tourna vers elle avec un grand sourire, et un regard surpris :

-En effet, ainsi qu'avec une silhouette féline des plus agréable! fit il en retour de compliment.

C'est alors qu'un... Affamé? Se rua sur la demoiselle pour lui ploter avec un plaisir visible le séant!
Arendil... Hum. Arendil. La subtilité et la poésie incarnée, un comportement exemplaire face aux demoiselles à son goût, de quoi donner la leçon à de nombreux gentlemen. Soit quelques mots qui permettent de ne pas le décrire.

Répondant à la question du fat, Ker-Dunaphil déclara :

-Je peux toujours vous dire qui je ne suis pas : un homme voulant entrer dans le concours de phalus que vous venez d'organiser au débotté. Ne comptez pas non plus sur moi pour vous défier en duel. Ce serais vous donner une importance imméritée.

Non pas que Ker-Dûnaphil n'en avait pas envie, mais... En plus de donner de l'importance à Arendil, il était moins que certain de gagner ce duel : l'amiral avait tout de même 3000 ans derrière lui. Il avait beau être très bon au combat, lui n'avait jamais que 92 ans...

Et de toute façon, les mots sont plus acérés que n'importe quelle lame (mais sont moins mortels* -elles même moins mortelles que n'importe quelle intrigue, et en parlant d'intrigue, il lui faudrait trouver un moyen de faire payer ses manières à l'amiral. Moui, ce pourrait être drôle-).

C'est alors qu'arriva un nouveau seigneur (que de beau monde!), qu'il salua également :

Salutation Seigneur Ar-Pharazon. Vous tombez à pique, nous sommes en route pour visiter le temple du crane, un lieu qui, à n'en pas douter, vaut d'être vu.



*D'accord, à part ceux d'un magicien.

Unolith prit la carte. Il avait peur de ce bout de carton. Peut-être était-il empoisonné? Heureusement qu'Ar-Pharazon n'était pas aussi soucieux et peureux, mais il appliquait juste inconsciament le premier commandemant du Super-Méchant "d'imbéciles entouré tu sera". Il prit la carte des mains du Princeps. Le Basileus savaiit très bien que son arrivé à Umbar était totalement impromptue et qu'aucun espions ou assassins n'avaient pus en être informé. De plus elle avait respecté l'usage, si la carte était empoisonné elle aurait cherché à passé outre.

-Et bien j'espère que notre première rencontre ne mènera pas à mon décès, dit Ar-Pharazon en riant. Je penserait à vous si jamais j'ai besoin de vos services.

Le Basileus trouvait les méthodes de la chatte peu cavalière. Eh oui généralement les assassins cherchaient le plus souvent à rester dans l'ombre, se basant sur un réseaux d'informateurs qui leurs rapportaient les contrat. Informateurs qu'il fallait payé, voilà pourquoi engager un assassins se revelait aussi couteux. Du moins c'est ce qu'en avait déduis Ar-Pharazon. Il ne se doutait d'ailleur pas que la demoiselle Sha exercaient elle aussi des prix élevé. Si seulement il savait la vérité sur l'identité de la dame.
Il répondit à Ker-Dunaphil.

-Le temple du Crâne? Mais pourquoi pas y faire une visite. Ce pourrait être instructif, j'ai quelques lacunes en anatomie intérieure. Mais... j'étais venus rendre visite à la Reine-Impératrice. Savez-vous si elle est présente. Comme vous êtes ici je présume que vous êtes déjà allez la voir, non?

Arendil considéra la jeune femme, les Jaguars, le Roi de Numenor, la jeune femme, les Jaguars, la jeune femme... (c'est chiant, hein?)

Il connaissait un des Jaguars en question: Emeraude, le redoutable garde personnel de la Reine-Impératrice. Ce satané Elfe était un rapide et un morceau compliqué à semer.
Arendil se faufila prestement derriere Ker-Dunaphil, sa tête dépassant des épaules de l'Humain:

-Vous n'avez pas honte, Mademoiselle? Je vous rappelle que la castration est un crime, ici. Rendez son arme à Monsieur?... Messire?... Sa Majesté?...
Fit-il d'un ton jovial.
La situation était épineuse: 3 Jaguars, c'était distançable, mais avec l'Elfe dans le lot, la partie serait plus que serrée.

-Messire, encore heureux que vous ne vous fachiez pas pour ces simples phrases. Je ne supporte pas de discuter avec des barbares dépourvus de self-Control... Un peu comme ces Jaguars-là!

(Hrp: Suite ave l'aimable autorisation de Sha)
Aussitôt, 2 Jaguars se jettèrent sur l'Elfe. Emeraude, lui, ne bougea pas, flairant le piège pourtant grossier... mais allez demander à un Variag et un Numénoréen Noir de conserver leur self-control quand on les insulte.
Prestement, Arendil bondit, laissant les 2 empressés se jeter... sur un amiral... mais celui, Roi Numénoréen, qui était sujet au mal de mer!

Emeraude ayant anticipé le point de chute d'Arendil et se jeta sur lui, l'enserrant.
-Enfin, tu me tombes dans les bras, beau blond. Sussura le Noldo, qui assumait pleinement la réputation qu'avait sa race, à l'Amiral d'un ton suave.
Il comptait sur cette phrase pour paralyser quelque peu son adversaire tandis que tous deux roulèrent au sol.

Arendil était fait: certes, son sang Teleri faisait de lui quelqu'un de fort, mais Emeraude était un guerrier très entrainé et savait assurer sa prise. L'Amiral recouru à la ruse:

-Nimwë! Pelotage!
-AH! NON!
Arendil avait vu juste, l'idée même d'être tripoté par une femme qu'il ne connaissait pas insupportait Emeraude qui relacha sa prise et se relevant prestemment pour éviter l'attaque perfide féminine.
Arendil en profita pour se ruer hors de portée du Jaguar.
Il bondit d'escaliers en terrasses et tous entendirent un hurlement presque lointain:

-Rendez-vous au Temple!
Au fait, Majesté, je n'ai pas 3000 ans, je viens d'avoir 7382 il y a 3 mois! Je sais que je suis beau, charmant, séducteur, encore souple et que je ne fais vraiment pas mon âge, mais ce n'est pas une raison pour me rajeunir à ce point!
Expliqua l'Amiral tout en bondissant prestement. avec la souplesse et l'assurance de quelqu'un de très habitué à détaler par les terrasses d'Umbar.
Toute l'expérience d'un homme souvent obligé de partir à la hâte des chambres des dames s'exprimait dans son déplacement, et Emeraude savait que tenter de le poursuivre là était iutile, il lui ferai payer son vilain tour plus tard et il y aurait du châtiment corporel! Il était peut-être temps de placer des pièges à loup!

-Je sens poindre un mal de crane....

Je regardais des scenes de plus en plus ridicule, je m'amusais beaucoup, mais je commencer vraiment a etre en manque. Si ce n'etait dans le cadre d'un jeu stupide, peut etre que l'arrestation et la torture d'Arendil aurait pu etre amusante? Il a une belle voix.

Je me desinterresser a la scene et fit mine de me ronger les ongle afin de me mordre ferocement l'index de la main droite. J'étouffais un soupir de satisfaction comme l'eut fait un drogué en manque étant passé voir sont dealer.

-... Ou pas...

Je me mit alors a penser a ma glace entrain de fondre sans doute deja les morceau baigné dans la soupe rouge... Cette simple penser m'horrifia, mon regard se perdit par dela une fenêtre.